Lorsque l'entreprise qui m'employait a été rachetée par un groupe financier, je n'ai tout d'abord pas vraiment été inquiet. La nouvelle direction est arrivée, suivie par les gestionnaires, puis les consultants en organisation. La peur a commencé à s'installer dans les couloirs. Puis le verdict est tombé: nous étions en mauvaise santé, seul un plan social pouvait nous sauver. Classique !
Lorsqu'on m'a annoncé que j'étais viré, le plafond m'est tombé sur la tête, j'étais effondré. J'ai eu du mal à accepter la situation, normal ! Sauf que pourtant...certains détails m'ont paru étranges.
Un évènement est alors venu me tirer de la déprime. J'ai compris que les apparences étaient trompeuses. Je me suis tranformé en détective, avec les risques et les dangers que celà comporte...et j'ai été happé par l'engrenage.
vendredi 19 février 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Tout en nous faisant découvrir la dure réalité du monde de l'entreprise, l'auteur, tel un maître de jeu d'échec, joue de son personnage, tantôt avec lui, tantôt contre lui pour enfin permettre au lecteur de conclure "la partie" selon ses choix.
Félicitation à l'auteur, son style précis et alerte tient en haleine.
Nous avons lu ce roman à plusieurs et avec le même plaisir et chose étrange ces conclusions multiples dont je parlais s'en sont trouvé vérifiées.
Quant au personnage connu mais dont « l'auteur qui nous veut du bien » ne veut pas identifier, je pense que nous l'avons débusqué, je serais tenté de le mettre au pluriel, et vous ?
Enregistrer un commentaire